Lors d’une soirée d’anniversaire, Paul fait la connaissance de Laura. Avec son visage d’ange, son mètre cinquante pour 45 kilos, on lui donne 15 ans, grand maximum. Il craque pour cette petite, mais, il ne fait rien avec cette fille rigolote, pleine de vie et d’humour. Paul n’a pas envie de se retrouver au tribunal ni de jouer avec une mineure.

Ce n’est que le lendemain qu’il apprend par ses amis qu’elle a 19 ans et que cette petite aimerait bien le revoir.... A 45 ans, se taper une petite de 19 ans paraissant 15, cela rajeunit les sens coquins d’un homme mûr. A cela se rajoute qu’avec le physique de cette petite, il se remémore (de la main droite) sa jeunesse et avec regret, ses maladresses avec les filles.

Ayant eu son numéro de téléphone, Paul lui adresse un texto en lui proposant un Mac Do, le type de resto qu’il n’aime pas mais avec une petite, un trois étoiles ne semble pas convenir. Lorsqu’ils se retrouvent à la terrasse du Mac Do, les voisins de tables peuvent tout à fait s’imaginer qu’un père a emmené sa petite fille au resto et pour cause, elle s’est habillée en little et s’est faite des couettes.

La conversation est à l’opposée des apparences, Laura est une femme coquine et pleine d’envies. Elle lui raconte même qu’elle a déjà été payée pour poser pour un site ABDL. Elle a joué le rôle d’un petite fille qui porte encore des couches et suce une tétine ou boit au biberon. Paul est « sur le cul » en l’écoutant parler. Elle lui fait voir des photos sur son téléphone mobile, ce qui met le feu aux poudres de sa libido. Bien décidé de ne pas passer à côté de l’occasion comme dans sa jeunesse, il lui propose d’aller prendre un verre chez lui. Laura accepte sans aucun souci.

Arrivés chez lui, il est comme bloqué et ne parvient qu’à lui offrir à boire. Non pas qu’il soit timide avec les femmes, ça c’était avant, mais parce qu’il a l’impression de brûler les interdits. Laura ne tarde pas à devenir chipie. Elle le provoque tellement qu’il menace de lui donner une fessée si elle continue. Ce n’est pas le genre de chose qui l’arrête, bien au contraire, elle se couche sur ses genoux en lui disant qu’elle est désolée d’avoir été vilaine.

Paul prend alors son courage à deux mains, même si une suffit pour soulever la jupe de la chipie pour lui donner la fessée promise. La taille de son petit cul est un très sérieux frein à la main punitive, il a peur de la casser ! Ce n’est que du bout de la main qu’il tapote les petites fesses qu’il ose à peine toucher.

La fessée terminée, Laura se redresse puis, lui fait face en s’asseyant sur ses genoux avant de dire « pardon d’avoir été vilaine » en se serrant contre lui pour un câlin. De petits bisous consolateurs en gros bisous, les lèvres finissent par déraper et se rencontrer. Ce baiser embrase le caleçon sur lequel, qui plus est, Laura s’agite..... Osant à peine la toucher, il dévore la bouche de la jouvencelle dont les mains ne restent pas dans les poches de la jupe. Elle s’attaquent aux boutons de la chemise de Paul avant d’entreprendre un « état des lieux » sous la forme de caresses, puis, de petits pincement des tétons masculins.

S’il ne savait pas qu’elle a 19 ans, il la repousserait mais là, il craque et laisse tomber sa retenue. Ses grosses mains palpent à présent ses petites fesses avant de partir à la découverte du corps juvénile. Le soutien-gorge qu’il dégrafe sous le tee-shirt lui donne accès aux petits seins disparaissant presque dans une seule de ses mains. Laura ne se laisse pas embrasser, au contraire, elle le dévore.

N’en pouvant plus d’excitation, il serre Laura dans ses bras et se lève pour la porter sur le lit de sa chambre. Elle entoure ses jambes autour de lui et continue de lui « manger la bouche ». L’anguille lui échappe des mains lorsqu’il la dépose sur le lit, non pas pour le fuir, mais pour retirer son tee-shirt et son soutien-gorge. Paul part à la conquête de l’espace découvert, il se délecte à embrasser cette peau si douce que l’on dirait une peau de pêche. La descente des bisous se poursuit jusqu’à la culotte et la jupe prestement retirées. Son retrait expose à ses yeux gourmands un petit chaton aussi glabre que celui d’une petite fille.

C’est à peine s’il ose l’embrasser mais, la gloutonne de sexe, ne tarde pas à appuyer sur sa tête, pour lui faire comprendre qu’elle désire plus. Elle va même jusqu’à la serrer pour l’emprisonner de ses cuisses pour en avoir plus. Laura adore se faire brouter le chaton, elle est autant clitoridienne que vaginale, la langue des mecs à cet endroit là, est souvent pour elle le déclencheur d’un feu « d’artifesses », d’artifice pardon.

Emprisonné entre les fines cuisses, Paul n’a pas d’autre choix que d’officier de la langue, action ne tardant pas à générer de très mélodieux couinements du plus bel effet. Les gazouillis montent en puissance, un peu comme pour indiquer à la langue, qu’il ne faut surtout pas arrêter d’oeuvrer. Les oreilles de Paul sont soudainement écrasées par des cuisses prises de convulsions. Laura jouit bruyamment sans lâcher prise.

A peine remise de cette agréable émotion, elle le libère pour aller libérer le bas du corps de Paul. Laura en veut encore, elle veut ce qui se cache dans ce pantalon qu’elle arrache presque en même temps que le caleçon. En voyant la verge tendue à rompre, Laura à l’impression de voir une glace à la vanille. Elle s’en saisie des deux mains et la gobe quasiment entière de sa petite bouche. Paul est émerveillé et encore un peu gêné de voir ce visage juvénile s’attaquer à son sexe. L’experte vorace ne tarde pas à faire s’envoler les réfutations de la morale du mâle, si bien qu’il devient soudain le catcheur du dodo.

Après avoir enfilé un préservatif, il « enfile » la petite dans tous les sens. C’est dans la Nelson position, position facile à faire avec une fille d’un mètre cinquante, que la résistance de Paul cède sous les cris de la gloutonne chantant l’amour. Bloquée dans les bras du mâle, Laura jouit une énième fois en le sentant jouir. En même temps, elle regrette que cela soit déjà fini, du moins c’est ce qu’elle redoute.

A peine l’a t’il reposée sur les draps en bataille, que l’infatigable et insatiable gazelle repart à la charge, il lui en faut encore. Le préservatif retiré et rangé en vrac sur la moquette.... la petite bouche compte bien que la bête ne faiblisse pas. En la voyant débander, elle se met à lui parler, à la menacer et même à lui donner de petites gifles. Paul ébahi la regarde faire sans comprendre. Il n’avait jamais vu une femme réagir comme ça, même dans les vidéos qu’il regarde souvent sur Fessestivites.

La bête épuisée ne reprend pas forme et continue de « régresser » de vouloir ressembler à un vermisseau. Souricette agacée plaque son propriétaire sur le dodo. Enjambe prestement son visage pour y prendre place comme sur un fauteuil.

• Tu as chanté et bien maintenant tu dois « languer » ! Crie Laura en plantant ses griffes acérées dans les tétons de Paul.

C’est ainsi, avec le nez niché dans le tout petit pertuis, pile poil sous le cratère qu’il aurait pu visiter si vermisseau tenait la route, qu’il découvre que Laura est une vorace, une mante religieuse du dodo. Les tétons en feu, langue et mâchoires au bord du dépôt de bilan, Paul demande grâce après une longue série de jouissances de la petite gazelle assoiffée de sexe.

• Je te veux toi ! Murmure Laura à son oreille après s’être allongée contre lui pour faire une pause.

Emu, Paul ne sait que répondre à par l’embrasser tendrement. Ils sombrent tous deux dans les bras de Morphée, aussi épuisée qu’eux rien que de les avoir vu. Au petit matin, il se lève pour faire ses ablutions avant d’aller chercher des croissants. A son retour, la tête du petit ange posée sur l’oreiller lui donne un coup au coeur. Ses cheveux blonds s’étalent comme les rayons du soleil. Dans son sommeil, son petit visage donne l’impression d’être une jeune princesse, encore plus jeune que la toute première impression du jour de la rencontre.

• Qui pourrait imaginer que ce petit ange puisse être un démon du dodo ? Se dit Paul émerveillé.

S’il s’avait ........

..................

Lorsque Laura lui a dit « Je te veux toi », elle ne plaisantait pas, ce n’était pas juste des mots lancés en l’air comme ça, après une baise partie. Elle ne l’a pas lâché et l’a, plus d’une fois, tenu par la verge pour le conduire au théâtre des opérations fusionnelles. Paul a décidé de prendre deux Red Bull le soir avant d’aller au dodo. Mauvaise idée ! ! ! !

Lorsqu’ils ont emménagé ensemble, ou plutôt, lorsqu’elle a emménagé chez lui trop heureuse de quitter le domicile familial, c’est après avoir pris ses deux Red Bull qu’il a découvert que la petite, si petite soit-elle, était une femme comme les autres et avait ses règles. La trique tendue à rompre, ne pouvant pas dormir, tranquille pépère devant l’écran, c’est en regardant une vidéo de domination féminine sur Fessestivites, qu’il se tape une petite branlette histoire de faire baisser la pressions pendant que l’ange dort. Réveillée par une envie pressante, c’est en se rendant aux toilettes qu’elle le découvre en train de se masturber.

• Mais c’est quoi ça ? Qu’est-ce que tu oses faire et gâcher ? Crie soudain Laura juste avant le moment de libération, cassant net la jouissance pointant son nez.

• Mais heu, tu as tes règles, alors je te laisse tranquille. Répond Paul très gêné.

• Quand la route est rouge, on peut prendre le petit chemin boueux banane ! Lui crie Laura vraiment en colère.

(Traduction de cette phrase au cas ou vous n’auriez pas compris : quand une femme a ses règles on peut la sodomiser)

• Tu aimes la sodomie ?

• J’aime tout en amour sauf que tu me trompes !

• Je ne te trompe pas, je me masturbe, cela n’a aucun rapport !

• C’est pareil, tu me fais des infidélités. C’est peut-être pour ça que tu as besoin de prendre du Red Bull pour arriver à me satisfaire le soir !

• Je suis désolé ma puce, je ne savais pas que cela te gêne.

• Oui, cela me gêne, quand on est célibataire, cela est logique, mais quand on est en couple non ! Cela mérite une fessée

Amusé Paul répond « oui maîtresse » sans se douter que ce trait d’humour va lui coûter cher. Très cher ! Même très, très cher ! ! !

• Ah tu veux jouer à ça, pas de problème et comme dans la vidéo que tu regardais le mec a une cage de chasteté, on va t’en commander une, comme ça, je serai sûre que tu ne me trompes pas. Ramène tes fesses, j’ai à leur parler ! Crie Laura.

Ramené à la chambre manu militari par son petit bout de femme, en s’allongeant sur ses genoux, il n’imagine pas un instant qu’elle puisse lui faire mal. Grossière erreur ! Si Laura a de petits bras, elle n’est pas moins musclées que les autres. Sa petite main ne tarde pas à faire l’effet d’un battoir sur les fesses poilues de paul. Il lui crie d’aller doucement, mais cela ne change absolument rien pour la fessée qu’elle lui donne de bon coeur.

• Quand j’aurai fini de te fesser, tu iras commander une cage de chasteté ! Crie Laura en poussant la main de Paul venue en protection. Tu rajouteras des menottes et un martinet, je vais t’apprendre moi à me tromper. En plus en regardant une vidéo de dominatrice. Si c’est ça qui t’excite, je vais devenir ta Maîtresse, et crois-moi sur parole, tu vas marcher droit !

C’est le cul en feu, cinq minutes de reproches et menaces plus tard que Paul se rend sur ABCplaisir.com pour aller acheter ce qu’elle lui a demandé. Si l’idée l’amuse et l’excite, il se demande malgré tout si c’est une bonne idée avec Laura. Car si elle est Maîtresse comme elle est au dodo, il a du souci à se faire. ET LA il ne se trompe pas.

Deux jours plus tard, le colis d’ABCplaisir arrive. Excitée comme une puce, le petit ange ne tarde pas à redevenir un démon. Paul n’a pas d’autre choix que d’abdiquer et de mettre la cage de chasteté. A la suite de quoi, elle lui pose les menottes et c’est, mains dans le dos qu’il est conduit à leur chambre à coup de martinet sur les cuisses. Le petit ange y prend place, écarte les jambes et lui ordonne de se mettre au travail. Comprenant le message, Paul s’agenouille et plonge la tête la première au confluant des petites gambettes pour venir savourer le petit abricot qu’il chérit tant. Sa bonne volonté est accompagnée de coups de martinet de motivation, son dos ne tarde pas à rougir et sa langue à fatiguer.

• Viens, on retire la cage, j’ai envie de toi en moi !

Dans l’état où est Paul, si retirer le tube de la cage de chasteté est aisé, il leur ait impossible de retirer l’anneau. La compression de la racine de la verge de Paul freine le flux s a n g u i n, il ne pourra pas débander tant qu’il aura un minimum de sollicitation que cela soit, physique ou mental.

C’est ce que l’on appelle l’effet cockring. Qu’il ne débande pas est une situation rêvée pour Laura !

Et dans les effets d’un cockring, il y a aussi que l’éjaculation est retardée suivant la pression qu’il exerce. Trois heures de baise intense plus tard, Paul a joui deux fois sans débander, Laura un grand nombre de fois et, chose rare, commence à fatiguer. Elle lui fait trois tonne de compliments et en déduit que tout vient de la cage de chasteté.

• Avec de tel effet sur toi mon amour, ta cage de chasteté, tu n’es pas prêt de l’enlever, crois moi. Tu m’as baisée comme un dieu. Je t’aime fort comme ça ! Lui dit Laura en écartant les bras à leur maximum avant de lui demander de renfermer son petit oiseau magique.

EPILOGUE

Paul est sous cage de chasteté H24 sauf le soir. Au bout de six mois de vie commune, il a décidé de se remettre à boire du Red Bull quand elle lui a indiqué que, s’il avait besoin d’aide, elle pourrait trouver un amant sur Fessestivites.

Maure alité : ( Moralité^^^^ , on parle pas d’un magrébin fatigué ! ! ! )

Laura est petite mais elle a tout d’une grande, et il faut se méfier des petites femmes !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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